- EAN13
- 9782728827152
- Éditeur
- Rue d'Ulm
- Date de publication
- 12/03/2015
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Rue d'Ulm 24,00
Cris rassemble les nouvelles de la période du 4 mai 1919 où s’épanouit le
mouvement pour la Nouvelle culture, qui revendique l’usage de la langue
vernaculaire et s’en prend au moralisme confucéen. Certaines d’entre elles,
comme «Le Journal d’un fou», publiée dans Nouvelle jeunesse en 1918, ou
«L’édifiante histoire d’A-Q», sont devenues canoniques. D’autres, comme «Terre
natale» ou «L’opéra de village ,», représentent sur un mode élégiaque la Chine
rurale du bas-Yangtse dans laquelle a grandi Lu Xun. Errances, publié en 1926,
contient onze nouvelles évoquant, sur un ton souvent mélancolique, l’errance
des intellectuels chinois des années 1920.
Anciens lettrés devenus petits fonctionnaires, ils semblent piégés entre leurs
souvenirs d’un passé rural familier mais cruel et la modernité incertaine ou
trompeuse des grandes villes occidentalisées, où ils peinent à trouver une
place.
Mauvaises herbes, recueil de vingt-trois poèmes en prose, dont la forme rompt
avec la plupart des pratiques poétiques antérieures, rassemble des
méditations, oniriques ou nostalgiques, sur le passage du temps et les efforts
humains pour changer l’histoire.
mouvement pour la Nouvelle culture, qui revendique l’usage de la langue
vernaculaire et s’en prend au moralisme confucéen. Certaines d’entre elles,
comme «Le Journal d’un fou», publiée dans Nouvelle jeunesse en 1918, ou
«L’édifiante histoire d’A-Q», sont devenues canoniques. D’autres, comme «Terre
natale» ou «L’opéra de village ,», représentent sur un mode élégiaque la Chine
rurale du bas-Yangtse dans laquelle a grandi Lu Xun. Errances, publié en 1926,
contient onze nouvelles évoquant, sur un ton souvent mélancolique, l’errance
des intellectuels chinois des années 1920.
Anciens lettrés devenus petits fonctionnaires, ils semblent piégés entre leurs
souvenirs d’un passé rural familier mais cruel et la modernité incertaine ou
trompeuse des grandes villes occidentalisées, où ils peinent à trouver une
place.
Mauvaises herbes, recueil de vingt-trois poèmes en prose, dont la forme rompt
avec la plupart des pratiques poétiques antérieures, rassemble des
méditations, oniriques ou nostalgiques, sur le passage du temps et les efforts
humains pour changer l’histoire.
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