- EAN13
- 9782812625558
- Éditeur
- Rouergue
- Date de publication
- 03/01/2024
- Collection
- La brune
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Le Rouergue 18,90
En 1919, Marina Tsvetaeva a vingt-sept ans lorsque, en pleine guerre civile,
elle se retrouve seule à Moscou avec ses deux filles. Son mari s’est engagé
dans les armées blanches et elle ignore s’il est toujours en vie. Dans une
ville sous le joug du froid et de la famine, les difficultés matérielles la
contraignent à laisser ses fillettes dans un orphelinat. Alia a sept ans.
C’est une enfant d’une intelligence exceptionnelle. Irina a deux ans. Mal
aimée et sans doute atteinte de troubles mentaux, elle va mourir de faim. Un
drame qui pousse Marina à revenir sur sa vie passée pour essayer de comprendre
comment elle en est arrivée à laisser périr son enfant dans un orphelinat,
alors qu’elle en avait sorti l’aînée quelques jours plus tôt.
Avec ce roman fervent, Béatrice Wilmos nous fait traverser deux années d’une
vie percutée par la Révolution. Dans un dénuement extrême, Marina Tsvetaeva
vole de l’encre pour écrire des poèmes, raconte dans ses carnets la douleur
comme les joies dérobées aux désastres du temps, se retient de s’effondrer
lorsque la tragédie la frappe. Poétesse, mère, femme amoureuse, Marina
Tsvetaeva nous bouleverse.
elle se retrouve seule à Moscou avec ses deux filles. Son mari s’est engagé
dans les armées blanches et elle ignore s’il est toujours en vie. Dans une
ville sous le joug du froid et de la famine, les difficultés matérielles la
contraignent à laisser ses fillettes dans un orphelinat. Alia a sept ans.
C’est une enfant d’une intelligence exceptionnelle. Irina a deux ans. Mal
aimée et sans doute atteinte de troubles mentaux, elle va mourir de faim. Un
drame qui pousse Marina à revenir sur sa vie passée pour essayer de comprendre
comment elle en est arrivée à laisser périr son enfant dans un orphelinat,
alors qu’elle en avait sorti l’aînée quelques jours plus tôt.
Avec ce roman fervent, Béatrice Wilmos nous fait traverser deux années d’une
vie percutée par la Révolution. Dans un dénuement extrême, Marina Tsvetaeva
vole de l’encre pour écrire des poèmes, raconte dans ses carnets la douleur
comme les joies dérobées aux désastres du temps, se retient de s’effondrer
lorsque la tragédie la frappe. Poétesse, mère, femme amoureuse, Marina
Tsvetaeva nous bouleverse.
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