- EAN13
- 9782849245378
- ISBN
- 978-2-84924-537-8
- Éditeur
- Éditions du Cygne
- Date de publication
- 15/05/2018
- Collection
- Roman francophone
- Nombre de pages
- 73
- Dimensions
- 21 x 14 x 0,7 cm
- Poids
- 150 g
- Langue
- multilingue
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Offres
On la savait poétesse, essayiste, romancière, conteuse, traductrice, naturellement journaliste professionnelle et infatigable responsable et rédactrice en chef de l’association et de la revue qu’elle est bien déterminée à faire vivre Le Manoir des Poètes. Sans parler de l’animatrice d’ateliers d’écriture pour les enfants des écoles. Courageuse, déterminée rêveuse...comme la narratrice de sa nouvelle : Et Cette fois face au Potomac, qu’à son habitude, elle nous livre, dépouillée, dans un style camusien du constat et presque de l’absurde. « Aujourd’hui maman est morte », au lieu de cela « Yes I can », un défi lancé à la banalité d’une vie normale. Et je peux tout car je veux tout et j’irai jusqu’au bout de tout et de moi; il le faut, il faut se dépasser, s’imaginer et se recréer... Annpôl K., linguiste dicdacticienneLa pluma maestra de Maggy no escatima detalle al recrear un suspenso que nos conduce por vericuetos literarios a su modo, tal como todo autor debe lograrlo al imprimir su propia huella cargada de sentido y de formas de narrar diversas y sorprendentes. Logro que alcance Maggy cuando no se restringe al abordar la problemática humana describiendo los claroscuros del alma de la sociedad y de los seres en hallazgo o deshallazgo de sí mismos. Es una invitación clara para que disfruten este texto cargado de metáforas y de canto a la existencia cuando la oscuridad toca nuestras puertas y las profundidades de un lago se niegan a recibir nuestro aliento.Bella Clara Ventura, Novelista y poetaEt puis, comment oublier la poésie quand on lit : « les fenêtres du jour se referment progressivement et les prémisses du soir s’annoncent » ou encore « le soleil est encore là qui dore l’alpage de mon quotidien ». Alors, oui, je souligne le charme opéré sur moi à la lecture du voyage au bout d’elle-même de la femme désignée sous le pronom « je ».Jean-François Blavin, Sociétaire de la Société des Gens de Lettres
S'identifier pour envoyer des commentaires.
Autres contributions de...
-
Ce que le grand doit au petit, Dialogue des mots jour après jourMaggy De Coster, Eduardo CaveriÉditions du Cygne10,00