- EAN13
- 9782873176037
- ISBN
- 978-2-87317-603-7
- Éditeur
- Lettre Volée
- Date de publication
- 13/01/2023
- Nombre de pages
- 120
- Dimensions
- 21 x 14 x 1,1 cm
- Poids
- 182 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Publiée avec le soutien du cnL, une suite poétique qui témoigne d’une exigence de rigueur tout à fait exceptionnelle dans la poésie actuelle.
L’expérience poétique se livre ici sous la multiplicité de moments sensibles que vient recouvrir l’unité du rythme, attentive aux mots et à leurs relations, cherchant à révéler avec force ce qui relève d’un accord profond au coeur de ce que son auteur tente d’évoquer : « ce si vivant présent … dans ce bruit psaumé du réel, quelque chose qu’un présent ressasse à l’infini » : « tout ce qui se succède avec bonheur / Le jour et la nuit l’infime et l’infini le démembré et l’innombrable / Le dénombré lointain le proche », pour reprendre ses propres mots. Au centre de ces suites poétiques se découvrent les instants les plus délicats, les plus fragiles, mais aussi les plus vifs de la relation à l’autre, relation différée, s’abolissant, se perpétuant, en quelque sorte, puisque touchée par l’exercice de l’imagination mobilisant la mémoire. tout se joue ici dans la relation entre ces réalités diverses et vécues, alors que la recherche verbale s’attache aux états de conscience, et à l’indissociabilité entre le soi et le monde, l’impossibilité de les disjoindre.
L’expérience poétique se livre ici sous la multiplicité de moments sensibles que vient recouvrir l’unité du rythme, attentive aux mots et à leurs relations, cherchant à révéler avec force ce qui relève d’un accord profond au coeur de ce que son auteur tente d’évoquer : « ce si vivant présent … dans ce bruit psaumé du réel, quelque chose qu’un présent ressasse à l’infini » : « tout ce qui se succède avec bonheur / Le jour et la nuit l’infime et l’infini le démembré et l’innombrable / Le dénombré lointain le proche », pour reprendre ses propres mots. Au centre de ces suites poétiques se découvrent les instants les plus délicats, les plus fragiles, mais aussi les plus vifs de la relation à l’autre, relation différée, s’abolissant, se perpétuant, en quelque sorte, puisque touchée par l’exercice de l’imagination mobilisant la mémoire. tout se joue ici dans la relation entre ces réalités diverses et vécues, alors que la recherche verbale s’attache aux états de conscience, et à l’indissociabilité entre le soi et le monde, l’impossibilité de les disjoindre.
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