- EAN13
- 9782810012145
- ISBN
- 978-2-8100-1214-5
- Éditeur
- L'Artilleur
- Date de publication
- 29/05/2024
- Collection
- TOUC.ARTILL.ESS (1)
- Dimensions
- 2,3 x 15 x 3,4 cm
- Poids
- 572 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
En aura-t-on jamais fini avec les conséquences de la Grande Guerre ?
L’éclatement de la Yougoslavie et les événements d’Ukraine, suites
lointaines du traité de Versailles, nous rappellent l’importance de la paix
de 1919. Ce traité, fondé sur des illusions, est le résultat d’une victoire
militaire incomplète des Alliés. Ceux-ci disposaient pourtant de tous
les atouts pour faire subir aux Allemands une défaite suffisamment
marquante, qu’il leur eût été impossible de nier. C’est la thèse de ce livre.
S’appuyant sur de nombreuses sources inédites, l’auteur met en relief les
graves erreurs commises par les Français et les Britanniques fin 1917,
qui ont permis des victoires allemandes inespérées jusqu’à l’été 1918. Il
souligne ensuite le caractère inéluctable du redressement et des succès
alliés, qui auraient dû les pousser à entrer en territoire allemand. Ces
erreurs ont produit chez les Allemands le sentiment, tout à fait irrationnel,
que leur armée n’avait pas été vaincue sur le champ de bataille. Avec les
conséquences politiques ultérieures que l’on connaît.
Membre de l’Académie des sciences morales de Versailles et de la British Commission for Military History, Benoît Chenu a déjà publié deux ouvrages très remarqués, Castelnau. Le « quatrième maréchal » (2019) et 1916, la bataille des cinq empires, (2021).
L’éclatement de la Yougoslavie et les événements d’Ukraine, suites
lointaines du traité de Versailles, nous rappellent l’importance de la paix
de 1919. Ce traité, fondé sur des illusions, est le résultat d’une victoire
militaire incomplète des Alliés. Ceux-ci disposaient pourtant de tous
les atouts pour faire subir aux Allemands une défaite suffisamment
marquante, qu’il leur eût été impossible de nier. C’est la thèse de ce livre.
S’appuyant sur de nombreuses sources inédites, l’auteur met en relief les
graves erreurs commises par les Français et les Britanniques fin 1917,
qui ont permis des victoires allemandes inespérées jusqu’à l’été 1918. Il
souligne ensuite le caractère inéluctable du redressement et des succès
alliés, qui auraient dû les pousser à entrer en territoire allemand. Ces
erreurs ont produit chez les Allemands le sentiment, tout à fait irrationnel,
que leur armée n’avait pas été vaincue sur le champ de bataille. Avec les
conséquences politiques ultérieures que l’on connaît.
Membre de l’Académie des sciences morales de Versailles et de la British Commission for Military History, Benoît Chenu a déjà publié deux ouvrages très remarqués, Castelnau. Le « quatrième maréchal » (2019) et 1916, la bataille des cinq empires, (2021).
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