- EAN13
- 9782258073333
- ISBN
- 978-2-258-07333-3
- Éditeur
- Omnibus
- Date de publication
- 04/01/2007
- Collection
- OMNIBUS (2)
- Nombre de pages
- 1064
- Dimensions
- 19,9 x 13,1 x 3,9 cm
- Poids
- 718 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 843
- Fiches UNIMARC
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La comédie humaine
Volume 2, Ferragus, La duchesse de Langeais, La fille aux yeux d'or, César Birotteau, La maison Nucingen, Splendeurs et misères des courtisanes
De Honoré de BALZAC
Omnibus
Omnibus
Ce volume est le deuxième de l'ensemble que forme La Comédie humaine, véritable fresque sociale et humaine, patrimoine de la littérature française.
Lucien jeta sur Esther un regard mendiant, un de ces regards propres à ces hommes faibles et avides, pleins de tendresse dans le cœur et de lâcheté dans le carcatère. Esther lui répondit par un signe de tête qui voulait dire : " Je vais écouter le bourreau pour savoir comment je dois poser ma tête sous la hache, et j'aurai le courage de bien mourir... " – Que faut-il faire ? demanda-t-elle. – M'obéir aveuglément, dit Carlos Herrera... Et il faut rester belle. A vingt-deux ans et demi, vous êtes à votre plus haut point de beauté, grâce à votre bonheur. Redevenez surtout la Torpille. Soyez espiègle, dépensière, rusée, sans pitié pour le millionnaire que je vous livre. Ecoutez !... Cet homme est un voleur de grande Bourse, il a été sans pitié pour bien du monde, il s'est engraissé des fortunes de la veuve et de l'orphelin, vous serez leur Vengeance... (Splendeurs et Misères des courtisanes)
Pour (re)lire Balzac, inventeur du roman moderne, une édition présentée par Pierre Dufief, professeur à l'Université de Bretagne occidentale, et Anne-Simone Dufief, maître de conférences à l'Université de Paris X. Dans ce volume : Balzac, inventeur du roman
Lucien jeta sur Esther un regard mendiant, un de ces regards propres à ces hommes faibles et avides, pleins de tendresse dans le cœur et de lâcheté dans le carcatère. Esther lui répondit par un signe de tête qui voulait dire : " Je vais écouter le bourreau pour savoir comment je dois poser ma tête sous la hache, et j'aurai le courage de bien mourir... " – Que faut-il faire ? demanda-t-elle. – M'obéir aveuglément, dit Carlos Herrera... Et il faut rester belle. A vingt-deux ans et demi, vous êtes à votre plus haut point de beauté, grâce à votre bonheur. Redevenez surtout la Torpille. Soyez espiègle, dépensière, rusée, sans pitié pour le millionnaire que je vous livre. Ecoutez !... Cet homme est un voleur de grande Bourse, il a été sans pitié pour bien du monde, il s'est engraissé des fortunes de la veuve et de l'orphelin, vous serez leur Vengeance... (Splendeurs et Misères des courtisanes)
Pour (re)lire Balzac, inventeur du roman moderne, une édition présentée par Pierre Dufief, professeur à l'Université de Bretagne occidentale, et Anne-Simone Dufief, maître de conférences à l'Université de Paris X. Dans ce volume : Balzac, inventeur du roman
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